Le gouvernement a débloqué 4,2 milliards de FCFA pour l’achat de 4 rames de train (UNTM)

Kayes, 31 janvier (AMAP) Le gouvernement du Mali a débloqué  4 milliards  152 millions de Francs CFA pour l’achat de 4 machines ou rames aux Etats-Unis d’Amérique, pour le compte du Chemin de fer, a déclaré mercredi à Kayes, M. Modibo Fofana, membre de l’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM), a appris l’AMAP de source officielle.

L’information a été donnée au cours d’une conférence organisée par l’UNTM,  durant sa tournée pour faire le point de ses activités et recenser les problèmes des structures de base (Union régionale, Unions locales, Divisions et Comités).

Sur le règlement des salaires des cheminots, le secrétaire général de l’UNTM, Yacouba Katilé a donné des précisions au cours de la conférence.

« Nous avons dépêché une délégation à Dakar pour évoquer le problème de salaires des travailleurs (Dakar Bamako Ferroviaire avec les autorités du Sénégal. Le gouvernement du mali a aussi fait de son mieux en débloquant un fonds en 2019 pour la relance du chemin de fer », a déclaré le secrétaire général de l’UNTM.

Le patron de cette centrale syndicale et sa délégation ont débuté leur tournée d’information et de sensibilisation à Kita, avant de la poursuivre à Kéniéba, Kayes et Diéma. Les structures de base de Nioro participeront à la conférence de Diéma.

« Nous sommes des émissaires. Nous venons ici pour accomplir un devoir de redevabilité. Il s’agit pour nous de faire le bilan de nos activités et de recueillir les positions des gens par rapport à notre bilan. Nous évaluons les activités des Unions régionales et locales. Notre lutte est permanente. Il s’agit pour nous d’informer les gens et de recueillir leurs préoccupations surtout que la démocratie prône la concertation », a déclaré Yacouba Katilé à Kayes.

Le Secrétaire général de la centrale syndicale et ses représentants régionaux et locaux ont, par ailleurs  échangé sur la crise scolaire, le recrutement d’enseignants volontaires pour permettre la reprise des cours dans les écoles. Sur ce dernier point Yacouba Katilé a déclaré : « L’UNTM est une organisation syndicale. On se donne des idées. Il faut que je me concerte d’abord avec mes camarades. Le problème n’a pas été évoqué lors de notre dernière réunion ».

L’’intégration des enseignants des écoles communautaires dans la Fonction publique des Collectivités, les menace de licenciements, l’absence de syndicats dans certaines localités, le retard dans le paiement des salaires des enseignants, l’absence d’abattoir et d’aire de stationnement pour les véhicules, ont été également abordés au cours de la tournée.

« Le pays est en difficulté. L’UNTM a donné un avis favorable à la trêve. Car, les travailleurs qui créent la richesse, constituent les premières victimes de la crise. J’invite les syndicats à l’union. Nous constituons une chaîne et chaque maillon de cette chaîne est important », a enfin affirmé  Yacouba Katilé.

BMS/KM (AMAP)

Le Président Keïta invité à prendre part à la réunion UE-G5 Sahel à Bruxelles

Bamako, 31 janvier (AMAP) Le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta a reçu en audience jeudi à la Villa des Hôtes à Bamako, l’ambassadeur de l’Union européenne au Mali, Bart Ouvry qui lui a remis une invitation pour prendre part à la réunion Union Européenne- G5 Sahel qui aura lieu le 26 mars prochain à Bruxelles, a constaté l’AMAP.

Le diplomate européen a précisé que sa rencontre avec le Chef de l’Etat fait suite au sommet de Pau et qu’elle traduit la volonté de l’Union européenne de soutenir au maximum le processus de paix au Mali et au Sahel.

Le président de la République et son hôte ont eu des entretiens sur entre autres, la coopération entre l’UE et le Mali, la tenue des élections législatives, la situation au Centre du pays et le redéploiement des FAMa dans les localités du Nord.

«Nous sommes aussi très engagés dans les infrastructures», a déclaré le diplomate,  précisant que l’action de l’UE porte également sur la sécurisation des chantiers des routes au Nord du pays, a conclu le diplomate européen.

 ID/KM (AMAP)

Réunion de l’UE-G5 Sahel à Bruxelles : Le président Ibrahima Boubacar Keïta officiellement invité

Bamako, 30 janvier (AMAP) L’ambassadeur de l’Union européenne 9UE) au Mali, Bart Ouvry, remis, jeudi, au président Ibrahim Boubacar Keïta, une invitation pour la réunion qui regroupera, le 26 mars prochain à Bruxelles, l’UE et les cinq chefs d’Etat des pays membres du G5 Sahel (Mali, Burkina, Niger, Mauritanie et Tchad).

Cette rencontre, a expliqué M. Ouvry, fait suite au Sommet de Pau et à la volonté de l’UE de soutenir, au maximum, le processus de paix au Mali et au Sahel.

L’ambassadeur de l’UE au Mali et le président de la République ont discuté, aussi, de la tenue des élections législatives, de la situation au Centre du Mali et du redéploiement annoncé des Forces armées maliennes (FAMa) dans les localités du Nord.

Par ailleurs, Bart Ouvry a confié avoir beaucoup échangé avec le président Ibrahim Boubacar Keïta sur la coopération entre l’UE et le Mali.

« Une coopération qui, a-t-il dit, se renforce et se diversifie tous les jours ». En effet, outre les aspects classiques tels que l’aide développement, «nous sommes, aussi, très engagés dans les infrastructures», a déclaré le diplomate, ajoutant que l’action de l’UE porte, également, sur la sécurisation des chantiers des routes au Nord du pays.

Il a salué l’engagement du gouvernement sur ce front, tout en espérant que «nous puissions définitivement aller de l’avant».

ID/MD (AMAP)

Grève des enseignants : Les raisons du blocage, selon Le gouvernement

Bamako, 30 janvier (AMAP) Le ministre de la Communication, chargé des Relations avec les Institutions et Porte-parole du gouvernement, Yaya Sangaré, et ses collègues, Pr Mahamadou Famanta, en charge de l’Education nationale, et Oumar Hamadoun Dicko du Dialogue social, du Travail et de la Fonction Publique, ont rencontré la presse, jeudi, au Centre d’information gouvernemental du Mali (CIGMA), pour une séance d’explication sur la crise scolaire que traverse notre pays et les efforts menés par le gouvernement pour y mettre fin.

Il s’agissait, pour les ministres, de faire le point sur le blocage autour de l’application de l’article 39 de la loi 2018-07 du 16 janvier 2018, dissiper les rumeurs sur le recrutement des nouveaux enseignants, les mesures prises par le gouvernement face à la situation et d’appeler au dialogue pour trouver un terrain d’entente à la résolution de la crise.

Le ministre Sangaré a précisé qu’aujourd’hui, un seul point fait l’objet de blocage entre le gouvernement et le collectif des huit syndicats de l’Education signataires du 15 octobre 2016. « Il s’agit de l’application de l’article 39 de la loi 2018-07 du 16 janvier 2018 portant statut du personnel enseignant du secondaire, du fondamental et de l’éducation préscolaire spéciale », a-t-il dit.

Il a ajouté que le gouvernement reconnait la légalité de la revendication du syndicat des enseignants. Et d’ajouter que l’interprétation, à la lettre de l’article 39 de la loi, est juste et les enseignants ont raison de rappeler que toute majoration des rémunérations des fonctionnaires relevant du Statut général s’applique de plein droit au personnel de l’enseignement secondaire, l’enseignement fondamental et de l’éducation préscolaire spéciale.

Selon lui, cette revendication des enseignants s’adosse à un accord déjà négocié et obtenu par l’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM) en 2018 pour la valorisation de la grille indiciaire du Statut de la fonction publique. Le gouvernement, selon son porte-parole, ne refuse pas, du reste, la proposition du collectif mais demande juste d’appliquer la majoration en fonction de la grille indiciaire de la fonction publique obtenue par la Centrale syndicale en 2018. « C’est ce que les enseignants ont refusé. Ils exigent l’augmentation immédiate de leur grille de 180 points, rétroactivement, depuis le 1er janvier 2019 et 100 autres points, à compter du 1er janvier 2021. Ce qui fait, en somme, une augmentation de 280 points au lieu de 140 points que le gouvernement propose. Voilà tout le problème exposé », a souligné le ministre Yaya Sangaré.

Ajoutant qu’Il y a, donc, deux lectures différentes de la même loi qu’il faut clarifier, le ministre a indiqué que les syndicats exigent l’année 2019, comme date de l’entrée en vigueur de la nouvelle grille, contrairement au gouvernement qui propose 2020. A ce propos, Yaya Sangaré a souligné que pour le Premier ministre, cette exigence des syndicats de l’Education n’est pas acceptable pour deux raisons simples. « La première, a-t-il détaillé, peut être la soutenabilité financière, estimant qu’en ce moment, l’État ne peut pas ». La deuxième raison qui est, toujours selon lui, la plus fondamentale, c’est que si l’État cédait à cette pression des enseignants pour obtenir cette majoration, de façon rétroactve, à partir de 2019, cela peut entrainer la frustration des autres syndicats.

« Cela ouvrirait la voie à une spirale de revendications que nous nous ne pouvons pas nous permettre de cumuler avec la gestion de la crise multiforme que vit notre pays », a martelé le porte-parole du gouvernement. « L’État, annonce-t-il, ne peut pas respecter son engagement, cette année, avec les enseignants et leur demande d’étaler la prise en charge de leur revendication légale et légitime sur 2020 et 2021, comme l’avait fait, en son temps, l’UNTM ».

Pour sa part, le ministre Famanta, en charge de l’Education, a expliqué ce qui s’est passé l’année dernière et ce qui a été fait par le gouvernement. Il a dit qu’au cours de l’année scolaire 2018-2019, fortement perturbée par de nombreuses grèves menées par les huit syndicats de l’Education, des efforts importants ont été faits avec l’exécution de sept points sur dix revendiqués par les enseignants et qu’aujourd’hui, deux sont en cours de réalisation dont un retiré par les syndicats.

A ce propos, le ministre de l’Education a souligné que les enseignants ont bénéficié d’un statut autonome consacré par la loi n°2018-007 du 16 janvier 2018. « Ainsi, la valorisation de leur indice, l’octroi de primes d’équipements et la majoration de l’indemnité de résidence coûtent à l’Etat un peu plus de 24 milliards de Fcfa supplémentaires sur la période de 2018 à 2021 », a-t-il soutenu.

Concernant le recrutement des 15.000 enseignants contractuels, M. Famanta a informé que face à la situation, pour éviter le même scénario que l’année dernière, attendre juste pratiquement à la fin de l’année, pour essayer d’adopter des stratégies pour sauver l’année, « le Premier ministre a envisagé des alternatives, un plan B par exemple, D’où le recrutement de 15.000 contractuels, au cas où les négociations avec les huit syndicats n’aboutiraient pas. Si les discussions sont concluantes, « il n’y aura pas de plan B ». « Le recrutement de ces 15 000 contractuels, ce n’est pas pour remplacer, définitivement, les enseignants grévistes comme on l’a si mal interprété. Il ne s’agit pas de radier qui que ce soit. Aucun enseignant ne sera radié », a clarifié le ministre.

Pour sa part, le ministre en charge du Dialogue social, du Travail et de la Fonction publique a indiqué que le gouvernement n’a pas l’intention d’interrompre le dialogue. « Nous avons reçu des instructions très fermes de la Primature pour que le dialogue ne s’interrompe pas. Nous sommes, donc, dans cette perspective et nous travaillons à cela », a-t-il ajouté.

Oumar Hamadoun Dicko estime qu’il « faut savoir raison garder et voir objectivement la situation telle qu’elle se présente ». Il a soutenu que l’incidence financière de l’application de l’article 39, aujourd’hui, telle qu’exigée, nous amène à 58 milliards de Fcfa, ajoutant que le problème, ce n’est pas l’incidence financière, en tant que telle, mais ce sont des incidences politico-syndicales.

TC/MD (AMAP)

Fin de la visite de Jean-Pierre Lacroix : L’ONU réaffirme son soutien au Mali

Le secrétaire général adjoint de l’ONU aux opérations de maintien de la paix, Jean-Pierre Lacroi, à sa sortie d’audience

Bamako, 30 janvier (AMAP) Le secrétaire général adjoint des Nations Unies aux opérations de maintien de la paix, Jean-Pierre Lacroix, a donné l’assurance, jeudi, que le Mali pays peut compter sur l’appui des Nations unies pour réussir les prochaines élections législatives et parachever le processus de paix

M. Lacroix, a la sortie  d’une audience avec le président, Ibrahim Boubacar Keïta, a déclaré que lors de leurs échanges, l’accent a été, une fois de plus, mis « sur l’importance d’agir ensemble et de façon coordonnée pour atteindre l’objectif commun de paix et de stabilité du Mali ».

Cette audience avec le chef de l’Etat marquait le clou d’une visite de cinq jours que le chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU a effectué au Mali.

A l’occasion, le président Keïta et Jean-Pierre Lacroix ont fait le point des efforts communs visant à faire avancer le processus de paix au Mali. Ils ont, ussi, évoqué les différentes perspectives qui, de l’appréciation du diplomate onusien, sont « encourageantes, malgré les défis». Parmi celles-ci, il a cité la tenue prochaine des élections législatives, qui est une des fortes recommandations du Dialogue national inclusif. «Nous soutiendrons ce vœu par des actions concrètes, de sorte que ces élections puissent se dérouler dans les meilleures conditions possibles», a-t-il annoncé.

Une autre perspective  est le redéploiement de l’armée reconstituée dans plusieurs localités, notamment à Kidal. «Ce sera une étape très importante», selon Jean-Pierre Lacroix qui a, également, rassuré, sur ce point, le président de la République du soutien de l’ONU.

Les Nations unies poursuivront et densifieront, aussi, à travers la Mission intégrée multidimensionnelle des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA), leur action dans les Régions de Ségou et Mopti, où la situation sécuritaire demeure préoccupante.

Lors de ces visites dans ces régions, Jean-Pierre Lacroix a pu constater «qu’il y a beaucoup de défis» face auxquels le Mali et ses partenaires agissent de manière intégrée. «Lorsque nous agissons en commun, les améliorations sont possibles et lorsqu’elles se produisent, elles sont reconnues par la population», a-t-il dit, avant d’insister sur la nécessité de poursuivre les efforts en totale harmonie.

Lors d’une conférence de presse, Jean-Pierre Lacroix a indiqué qu’il y a des défis en matière de sécurité et des efforts importants restent à faire dans le domaine de la mise en œuvre de l’Accord de paix. Malgré ces préoccupations, a relativisé le haut fonctionnaire de l’ONU, « il y a des pistes qui sont encourageants comme la mise en œuvre des conclusions du Dialogue national inclusif, avec en toile de fond les prochaines élections législatives ».

Concernant le redéploiement de l’armée reconstituée à Kidal, le secrétaire général adjoint des Nations Unies aux opérations de maintien de la paix s’est dit convaincu que ce sera « une étape extrêmement importante sur les plans sécuritaire, politique et symbolique ».

Sur un possible dialogue avec les chefs terroristes, lyad Ag Gahli et Amadou Koufa, annoncé, récemment, par le Haut représentant du président de la République pour les Régions du Centre, Jean Pierre Lacroix s’est gardé toutcommentaire.

ID/AT/MD (AMAP)

Markala : Double attaque terroriste au poste de contrôle du Point A

Ségou, 30 janvier (AMAP) Le check point des Forces armées maliennes (FAMa), appelé « Point A », dans le village de Sarkala, à une dizaine de km de Markala, Cercle de Ségou a été attaqué dans la nuit du mercredi à jeudi, a appris l’AMAP d’une source sécuritaire locale.

Des individus non identifiés se sont attaqués, entre 2h et 3h du matin, à cette position stratégique, dans le dernier village avant d’arriver au pont de Markala, en venant de Niono. « Des hommes, lourdement armés, ont commencé à tirer sur tout ce qu’ils voyaient. En surnombre face aux militaires, ceux-ci se sont repliés », a précisé notre source.

Les assaillants ont donc pris le contrôle du poste et sont repartis avec du matériel trouvé sur place dont un véhicule. Après ce forfait, ils se sont rendus au poste de contrôle de la gendarmerie, toujours dans la même zone du Point A. Là aussi, ils sont repartis avec les motos du personnel. « Il n’y a eu que des dégâts matériels. Pas de perte en vie humaine », souligne notre source.

D’autres sources, sur place, croient savoir que l’attaque a été perpétrée par une centaine d’hommes armés non identifiés circulant à motos. Les mêmes témoins indiquent, également, que les colonnes d’individus armés se sont dirigées vers M’bewani, dans la Commune de Seribala.

On rappelle qu’en janvier 2018, ce même poste, tenu par la gendarmerie, a été attaqué et incendié par des individus armés non identifiés.

Markala est à 35 km, au nord-est de la capitale de la 4è région, Ségou.

MAT/MD (AMAP)

Diré : Le PM lance la reprise des travaux du Lycée public

Diré, 30 janvier (AMAP) Le Premier Ministre, Dr Boubou Cissé qui est arrivé à Diré ce jeudi, après l’étape de Goundam où il a rencontré les forces vives sur plusieurs sujets dont la sécurité et le développement, entre autres, a procédé au lancement de la reprise des travaux du lycée public « Amadou Diadié Ba », a constaté l’AMAP.

Les populations de Diré ont accueilli au Chef du Gouvernement et aux membres de la délégation qui l’accompagne, l’accueil des grands jours.

Dr Boubou Cissé rendra une visite de courtoisie aux notabilités avant de rencontrer les forces vives de la nation sur les grandes préoccupations de la Nation.

En rappel, les travaux du lycée public « Amadou Diadié ba » ont été interrompus depuis les évènements de 2012.

KM (AMAP)

CICB : Un budget prévisionnel de plus d’1, 6 milliard de francs CFA

Bamako, 30 janvier (AMAP) Le budget prévisionnel de l’exercice 2020 du Centre international de conférence de Bamako (CICB) s’élève en recettes et en dépense à la somme d’un milliard 651 millions 945.000 francs CFA, a appris l’AMAP de source officielle.

L’annonce a été faite jeudi à Bamako, par le Secrétaire Général du ministère de la Culture, Andogoly Guindo, à la cérémonie d’ouverture des travaux de la 21ème session du Conseil d’administration du CICB.

Sur ce budget, l’Etat apporte une subvention de 306 millions 295.000 francs et les ressources propres du Centre sont estimées à 1milliard 345 millions 650.000 francs CFA, a précisé  Andogoly Guindo qui a déclaré que l’exercice 2020 s’annonce sous de bons auspices, avec l’espoir d’un accroissement des performances.

 KM (AMAP)

Ouverture des travaux de la 21è session ordinaire du Conseil d’administration du CICB, ce jeudi à Bamako

Bamako, 30 janvier (AMAP) La cérémonie d’ouverture des travaux de la 21ème session du Conseil d’administration du Centre international de conférence de Bamako (CICB) a été présidée ce jeudi, par le Secrétaire général du ministère de la culture, Andogoly Guindo en présence du directeur général du CICB, Sékou Dissa, dans les locaux du Centre, a constaté l’AMAP.

Les administrateurs vont examiner le rapport d’activités et financier, analyser et adopter le budget prévisionnel 2020 avant de se pencher sur d’autres questions relatives au fonctionnement du Centre.

KM (AMAP)

Le PM est arrivé à Goundam où il s’est entretenu avec les forces vives sur plusieurs sujets

Goundam, 30 janvier (AMAP) Le Premier Ministre, Dr Boubou Cissé et les membres de sa délégation sont arrivés ce jeudi à Goundam où il a eu des échanges avec les forces vives de la Nation sur plusieurs sujets dont la sécurité des personnes et de leurs biens et le développement du cercle, a constaté l’AMAP.

Dr Boubou Cissé, en provenance de Tombouctou, a visité dans la Cité des 333 Saints de nombreuses infrastructures en cours de restauration ou de réalisation dont l’Institut Ahmed Baba, l’Institut de formation des Maîtres (IFM) et l’autogare avant de s’entretenir avec les notabilités et les cadres de la région.

KM (AMAP)

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